|
|
Iris MugnaroNOM - MugnaroPRÉNOM - IrisAGE - Dix-huit ans.GROUPE- Réfugié ORIENTATION - HétérosexuellePARTICULARITÉ - Comme ça mère avant elle, Iris à les yeux qui devienne blanc lorsqu'elle utilise abusivement de sa magie. RACE- Sorcière de feu.STATUT- coeur à prendre.MÉTIER / RANG- lycéenne.TERRITOIRE- La terre.ALLÉGEANCE (pour les habitants de Roxime)- écrire ici AVATAR - Kiernan ShipkaPV / SCÉNARIO - oui / non (indiquer nom du créateur si scénario)
Ta pensée - Iris est une sorcière de sang pure, une sorcière de feu. Mais celle-ci n’a jamais vécu sur roxime elle ne peut donc dire ce qu’elle pense de cette guerre. Néanmoins si elle devait se positionner durant cette guerre, elle se serait probablement mise du côté de sa mère, dans le camps de sa mère qu’il soit bon ou mauvais. La famille avant tout. CARACTÈRE & POUVOIR(S)Quod si rectum statuerimus vel concedere amicis, quidquid velint, vel impetrare ab iis, quidquid velimus, perfecta quidem sapientia si simus, nihil habeat res vitii; sed loquimur de iis amicis qui ante oculos sunt, quos vidimus aut de quibus memoriam accepimus, quos novit vita communis. Ex hoc numero nobis exempla sumenda sunt, et eorum quidem maxime qui ad sapientiam proxime accedunt. Quod si rectum statuerimus vel concedere amicis, quidquid velint, vel impetrare ab iis, quidquid velimus, perfecta quidem sapientia si simus, nihil habeat res vitii; sed loquimur de iis amicis qui ante oculos sunt, quos vidimus aut de quibus memoriam accepimus, quos novit vita communis. Ex hoc numero nobis exempla sumenda sunt, et eorum quidem maxime qui ad sapientiam proxime accedunt. Histoire(Once I was ten years old) {nigthmare} — « Maman ? Maman ? Où es-tu ? » La jeune fille courait partout dans le jardin de sa maison à la recherche de sa mère, elle était souriante, joyeuse. Elle s'amusait comme une jeune enfant âgée de seulement 6 ans. Elle jouait à cache-cache avec sa mère, alors que son père n'était pas encore rentré du travail. Elle continuait de chercher sa mère coûte que coûte, puis elle fini par tomber, se faisant un croche-pied seul. La jeune fille a toujours été maladroite. Elle venait à l'instant, en tombant de retrouver sa mère. Iris, l'enfant âgée de seulement une sixaine d'année lâche un cri horrifié. Et les larmes coulaient le long de sa joue. Face à elle, se trouvait sa mère, mais celle-ci n'était pas vivante, elle était décédée, morte, tuée. ******** « Papa !!! » criais-je me réveillant en sursaut. J'avais les larmes aux bords des yeux, prête a coulé. Ce jour me hantait, je n'arrivais pas à effacer ces images de ma tête. Je la re-voyais tous les soirs depuis quatre ans. Ma mère, décédé. Mon père venait d'arriver dans ma chambre. « Encore ? » Me dit-il d'un ton inquiet avant de s'asseoir sur le bord de mon lit et de me prendre dans ses bras. Je lui répondais d'un hochement positif de la tête. Je n'en pouvais plus, avoir retrouvé ma mère morte était la pire chose qui mettait arriver. Je ne comprenais toujours pas de quoi était-elle morte, même si, selon moi, selon mon jeune âge ce n'était pas une mort naturelle, elle avait été tuée. Mais, ça, mon père n'avait jamais voulu m'en dire plus. Le lendemain, j'avais mon rendez-vous chez la psychologue, je la voyais très très souvent depuis ma mère. Je pensais que s'était seulement pour cette raison-ci que je me rendais chez la psychologue, mais j'avais entendu mon père parler avec elle, parler de problème du comportement que j'avais. Apparement j'étais attention de troubles de la bipolarité. Et cela avait fait surface lors de la mort de ma mère. Mon père m'en avait parlé ce soir-là lorsqu'il me donnait mon traitement, il m'avait expliqué ce qu'était la bipolarité. Il m'avait dit que j'avais eu ça héréditairement, que ça venait du côté de la famille de ma mère. (Once I was fourteen years old) Quatorze ans début de l'adolescence. Je venais de rentrer en première année de lycée. J'étais seule dans ma classe, je ne connaissais personne et je n'étais pas ce genre de fille à faire le premier pas à aller vers des gens que je ne connaissais pas. J'ai eu des difficultés à me faire des amis. Je n'en avais pratiquement pas, la seule vraie amie que j'avais, c'était celle depuis toute petite, ma meilleure amie. Qui avait fini par me mettre un coup de couteau dans le dos. Elle voulait la popularité et moi, j'étais loin d'être une fille populaire, on n'était pas sur la même longueur d'onde. Sa popularité, Ava l'avait eu. Balançant mon plus gros secret, me rabaissant devant tout le monde, inventant même des événements me concernant qui se sont jamais passés. Elle avait dit à tout le monde que j'étais atteinte de trouble bipolaire. Je l'avais mal pris, très mal pris. Mais je n'avais rien dis. J'avais fait le choix de garder le silence, afin de ne pas aggraver ma situation. Je pensais vraiment que les choses allaient passer, qu'au bout de quelques mois tout le monde serait passé à autres choses et qu'ils arrêteraient de me faire chier avec ce que Ava avait dis. Mais non tout cela avait continué, je pense même que ça s'était amplifié avec le temps. Je n'arrivais pas à me faire des amis et avec toutes ces histoires s'étaient vraiment plus compliqué pour moi… Je commençais à en avoir marre, je séchais, elle me rendait la vie dure et ça tournait pratiquement à du harcèlement. À mon père je n'avais rien dis et s'était mieux ainsi. Mon traitement pour ma bipolarité, je ne le prenais plus, du moins pas comme il le fallait. Puis il y a eu ce jour, ce jour qui a été la goutte d'eau qui fait déborder le vase. C'était en salle de permanence que tout s'est passé. J'essayais de m'avancer dans mes devoirs. Puis la voilà qui arrive. Ava était là, dans la même pièce que moi. Elle jouait les garces et ça m'agaçait. Je la voyais assise sur sa table les jambes croisées et qui regardait au-dessus de son épaule, je sentais mon sang qui commençait à bouillir de l'intérieur. Elle avait dit ce, je ne sais pas quoi, qui m'avait fait sortir de mon silence. C'était en salle de permanence que tout s'est passé. Et je l'avais giflé dans le visage, chose que je n'avais jamais fais auparavant, j'arrivais toujours à garder mon calme, à contrôler mes émotions. Mais là s'en était de trop. J'en avais marre de me cacher, de ne rien dire ni faire, elle voulait jouer à la plus garce. J'allais jouer avec elle. - « C'est bien tout ça. T'as réussi à me faire sortir de mon silence Ava. Je sais pas à quoi, tu joues depuis le début de l'année. Mais, je t'en pris arrêtes, tu me fais de la peine à jouer les pestes. Ça ne te va pas du tout. Surtout, quand on sait ce que t'étais avant. On sait tous que sans moi t'étais rien, oui oui et encore une fois, si t'es devenue populaire, c'est encore grâce à moi je te rappelle. Donc un conseil, arrête avec moi, tu sais très bien qu'il ne faut pas m'énerver. » ai-je dis froidement à Ava. Elle m'avait laissé parler, elle mâchait son chewing-gum comme une… ça t'agaçait encore plus. Elle se lève et se met face à moi, elle a toujours été légèrement plus grande que me, mais cela ne m'impressionnait pas. Elle ricanait et souriait narquoisement. « Ma Chère Iris. Je crois qu'entre nous, tu peux te taire. Je te rappelle aussi que si je n'étais pas là, tu serais actuellement au fond du trou. Ou bien devrais-je dire auprès de ta mère ? » Je fronçais les sourcils, et serrais mes poings. « Oups, je crois que j'ai touché le point sensible. » Dit-elle en ricanant et regardant ses amis. Sans que je ne puisse le contrôler, sans que je ne m'y attende pas, ma colère ayant pris le dessus, j'avais mis le feu à la manche droite de son pull. Je n'étais pas sûr et certaine que cela vienne de moi, mais ça m'en avait tout l'air. J'étais alors partie, rapidement pendant que celle-ci paniqué de voir le feu secouait son bras afin de l'éteindre. (once i was seventeen years old)Des incidents comme celui qui s'était passé, il y a de cela trois ans, c'était devenu plus fréquent. Et j'avais du mal à penser, à croire que cela vient de moi jusqu'au moment où mon père l'avait appris. Un soir, alors que nous étions en train de dîner, il commençait à me parler de tout et de rien, comme toujours. Il me racontait sa journée au boulot et moi, je lui racontais les miennes. Puis là, « Iris, j'ai quelque chose à te montrer, enfin te donner.» Avait-il dit sérieusement. Je le regardais hochant un sourcil lorsque j'avais aperçu une enveloppe entre ses mains. « C'est quoi cette enveloppe ? Un truc du lycée ? Si c'est ça je vais tout t'expliquer… » dis-je avant d'être coupé par celui-ci. « Non, c'est une lettre de ta mère. Elle l'a écrit lorsqu'elle est arrivée ici. Je devais attendre tes dix-huit ans pour te la donner, mais au vu des évènements, je pense que maintenant est la meilleure occasion. » Il me tendait la lettre. Et je la lisais étant très concentré. Lorsque j'étais en train de la lire, je pouvais sentir une larme couler le long de mon visage. Ça me faisait vraiment quelque chose de lire cette lettre sachant qu'elle n'était plus de ce monde, plus parmi les vivants. - Pour Iris:
Mon p'tit ange. Iris,
Si tu lis cette lettre, c'est que je ne suis plus ici… Et j'en suis fortement désolé. J'ai confié à Gabriel de te donner cette lettre lorsque tu auras dix-huit ans. Je sais que ça doit vraiment t'être étrange de lire cette lettre sachant que cela provient de moi. Et ce que je vais t'y dire, j'aurais préféré te le dire plutôt et de vive voix…
Depuis toute petite, depuis ta naissance, tu te sens différente et je le sais, nous le savons. Tu n'aurais jamais dû naître sur cette terre et je n'aurais jamais dû te cacher que tu es un être magique, différente des terrestres. Je suis une personne d'ôtée de pouvoir magique et ton père, ton père biologique l'était également, deux sorciers. Provenant d'une planète nommée Roxime. La vérité, c'est qu'on a été poussé à fuir notre terre, du moins toi et moi. Ton père est resté là-bas parce qu'il n'avait pas le choix. Toi, ma chérie, tu es comme nous. Tu es dotée de pouvoir magique. Tu es une sorcière élémentaire, comme ton père et moi, le feu est ce que tu contrôles.
Je suis désolée de t'annoncer cela par l'intermédiaire d'une lettre, mais c'est que je n'avais vraiment pas le choix, je ne pouvais pas te laisser dans l'ignorance. N'en veut pas à Gabriel de n'avoir rien dis à propos de tout ça, il n'y es absolument pour rien.
Je t'aime par-dessus tout ma chérie, tu es la chose la plus précieuse que je n'ai jamais eu. Prends bien soin de toi, fais attention à toi. Encore une fois, je t'aime et ne l'oublie pas.
Maman.
Rien que toiPSEUDO AGE DÉCOUVERTE DU FORUM (top site, PRD...) CE QUE TU PENSES COMMENTAIRE @Pretty Girl Code à remplir obligatoirement : - Code:
-
[color=#990000]○ Kiernan Shipka[/color] ▬ [url=URL] Iris Mugnaro[/url] |
| |